Politique culturelle

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Par Stéphanie BALME



Note : Cet article est issu en partie du chapitre « La Chine séduit par son soft power » de l'ouvrage de Stéphanie Balme,
La Tentation de la Chine, Cavalier Bleu, 2013, pp. 203-225.

Par Christophe Jaffrelot


Note : ce texte est une version remaniée et actualisée par l'auteur d'un article paru dans Alternative Sud, 2011 (vol. 18, n°3) sous le titre : « L’Inde entre puissance et paralysie ».

Par Anne de TINGUY


La question de la puissance est inscrite dans l’histoire de la Russie. Du XVIe au XXe siècle, l’empire russe a quasiment continûment repoussé ses frontières dans toutes les directions par l’intégration progressive de territoires contigus. L’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), dont la Russie est l’Etat successeur, a été longtemps considérée comme la deuxième puissance mondiale dans un monde qui était bipolaire (1947-1991). La géographie contribue elle aussi à un sentiment de puissance.

Par Daniel HAIZE


Sur le substrat des initiatives privées qui se sont développées au cours des siècles, l’Etat, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, a structuré une politique culturelle extérieure autour d’un projet fort, doté de moyens financiers et d’une administration, la direction des relations culturelles, au champ de compétence croissant.

Par Eric BIDET


Depuis quelques années, la Corée du Sud apparaît comme un pays doté d’un soft power significatif, présentant notamment une dimension culturelle particulièrement développée.