Soft power

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Par Stéphanie BALME



Note : Cet article est issu en partie du chapitre « La Chine séduit par son soft power » de l'ouvrage de Stéphanie Balme,
La Tentation de la Chine, Cavalier Bleu, 2013, pp. 203-225.

Par Joan DEAS et Yves SCHEMEIL


Les prétendants au statut de puissance globale sont nombreux mais peu sont les élus. Pour être reconnu comme puissance montante, un Etat doit être en phase ascensionnelle sur les plans économique, commercial, diplomatique et militaire (ce qui élimine la Russie, depuis longtemps établie) ; avoir la taille d’un continent (ce qui écarte l’Afrique du Sud) ; maîtriser la haute technologie (ce qui empêche d’autres pays parfois englobés dans le groupe des BRICS – Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique du Sud – comme l’Indonésie ou l’Egypte, d’y figurer pour l’instant).

Par Alexandra DE HOOP SCHEFFER


Qu’elles soient de nature économique ou géopolitique, les crises ont toujours suscité aux Etats-Unis une réévaluation de la puissance américaine et de son rôle dans le monde.

Par Mohammed EL OIFI


Le débat autour du rôle des moyens de communication dans la formation et la régulation des relations internationales et des liens entre médias et politique étrangère est récurrent. Ainsi, à chaque crise régionale ou internationale, on redécouvre le poids des médias et on spécule à propos de leurs impacts potentiels sur les processus politiques. A cet égard, le cas d’Al-Jazeera est exemplaire.

Par Jean LECA


A l’origine du concept popularisé pour la première fois au temps de la guerre froide par Joseph Nye, alors membre du camp des « chouettes », oiseaux de la sage Minerve s’opposant à la fois aux « faucons » et aux « colombes », le pouvoir est entendu comme les ressources dont use une unité politique pour faire « plier » les autres dans des situations où n’existe en principe aucun organe supranational prétendant au monopole de la contrainte physique légitime ni aucun système juridictionnel réglant les conflits de manière autorisée sans avoir reçu

Par Jérôme Sgard


Si la relation entre le politique et l’économique est l’une des questions les plus difficiles qui soit, une fois portée dans le champ international, elle se présente souvent dans des termes simplifiés, voire simplificateurs.

Par Christophe Jaffrelot


Note : ce texte est une version remaniée et actualisée par l'auteur d'un article paru dans Alternative Sud, 2011 (vol. 18, n°3) sous le titre : « L’Inde entre puissance et paralysie ».

Par Dominique BOULLIER


Internet, un réseau incontrôlable ? Du modèle distribué au réseau invariant d’échelle, du virtuel au hard des câbles et des serveurs

Par Anne de TINGUY


La question de la puissance est inscrite dans l’histoire de la Russie. Du XVIe au XXe siècle, l’empire russe a quasiment continûment repoussé ses frontières dans toutes les directions par l’intégration progressive de territoires contigus. L’Union des républiques socialistes soviétiques (URSS), dont la Russie est l’Etat successeur, a été longtemps considérée comme la deuxième puissance mondiale dans un monde qui était bipolaire (1947-1991). La géographie contribue elle aussi à un sentiment de puissance.

Par Daniel HAIZE


Sur le substrat des initiatives privées qui se sont développées au cours des siècles, l’Etat, au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, a structuré une politique culturelle extérieure autour d’un projet fort, doté de moyens financiers et d’une administration, la direction des relations culturelles, au champ de compétence croissant.